• Protection des femmes et des filles au Bénin : L’état des lieux sur les violences basées sur le genre

  • Féminicide : une femme assassinée par son compagnon

  • Violences basées sur le genre au Bénin

  • 16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles

  • 10 visiteurs totaux

  • Actualités

    Féminicide : une femme assassinée par son compagnon
    Féminicide : une femme assassinée par son compagnon
    Dans la nuit du 1er janvier dernier, les habitants du quartier Agla, dans le 13e arrondissement de Cotonou, au Bénin, ont été témoins d’un triste évènement. Un homme a tué sa compagne à l’aide d’une paire de ciseaux avant de tenter de mettre fin à ses jours.Selon les premiers témoignages du voisinage, à l’orgine du drame, une dispute aurait éclaté entre le couple. Pris donc d’une colère excessive, l’homme aurait blessé mortellement sa compagne avant de tenter de se suicider en utilisant le même ciseau.Alertés par des cris, le voisinage a rapidement fait appel aux forces de l’ordre et les services d’urgence qui se sont portés sur les lieux. Malheureusement, la femme a été déclarée décédée à leur arrivée. L’homme est donc transporté à l’hôpital pour des soins intensifs. Une enquête a été ouverte à la suite des évènements tragiques.
    0 Commentaire(s)

    Violences basées sur le genre au Bénin
    Violences basées sur le genre au Bénin
    Malgré la volonté politique et l’engagement des acteurs de la société civile, les chiffres liés aux Violences basées sur le genre (Vbg) sont continuellement en hausse. C’est ce que révèle les données rendues publiques par l’Observatoire de la Famille, de la Femme et de l’Enfant (Offe), à l’occasiond’un atelier d’élaboration de l’argumentaire du plaidoyer national contre les Vbg, qui s’est ouvert lundi 16 Septembre 2024 à Ouidah.Lobjectif dudit atelier est d’attirer l’attention sur les statistiques fiables liées à la problématique des Vbg en vue de l’élaboration, en synergie avec les acteurs concernés, d’un meilleur argumentaire de plaidoyer. L’Observatoire a donc partagé avec l’assistance, le rapport de l’étude de référence réalisée par le ministère des affaires sociales et de la micro-finance en 2022, sur la problématique au Bénin. Ledit rapport fait constater qu’environ 50 000 cas de Vbg avaient été enregistrés sur la période de 2019 à 2022 dont 33 613 pris en charge. Par ailleurs, seulement 4 311 cas sont arrivés devant les juridictions compétentes. Durant l’atelier, les acteurs sont outillés pour se servir des données officielles et crédibles pour rédiger le plaidoyer.
    0 Commentaire(s)

    16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles
    16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles
    Le réseau "Alliance Droit et Santé" a organisé une table ronde ce 13 février 2025 dans l’un des hôtels deCotonou. Axée sur le thème "Mise à disposition des Centres de prise en charge intégrés (holistique) pour les survivant.e.s des VBG au Bénin", la rencontre a mobilisé un public diversifié composé d’étudiants, d’acteurs de la société civile et d’ONG engagées dans la lutte contre les Violences Basées sur le Genre (VBG) ainsi que la Représentante du Ministère des Affaires Sociales et de la Microfinance (MASM), Anastasie Zondo.Etat des lieux sur les VBG au BéninA quelques jours de l’ouverture du sommet de l’Union Africaine (15 et 16 février), le réseau Alliance Droit et Santé sonne la sonnette d’alarme pour inciter les décideurs africains à adopter une convention propre à l’Union Africaine sur l’élimination des Violences Basées sur le Genre (VBG). C’est à travers une table ronde axée sur le thème "Mise à disposition des Centres de prise en charge intégrés (holistique) pour les survivant.e.s des VBG au Bénin". A en croire le Directeur Exécutif de CeRADIS, Nourou Adjibadé, membre de "l’Alliance Droit et Santé", à l’ouverture des échanges, lesdites assises s’inscrivent dans une campagne plus large et régionale pour renforcer la lutte contre les VBG.La table ronde est meublée par trois panels abordant l’état des lieux de la prise en charge des survivant.e.s des VBG, les défis rencontrés et les perspectives de la campagne régionale. Les échanges, animés par plusieurs experts dont Hermine Bokossa (Engender Health), Christelle Koffi (Calvif), Calixte Houedey, Docteur en Sociologie sexuelle, Anastasie Zondo (MASM) et Rodrigue Mounana Bansouomoude l’ONG Famille Nutrition Développement (FND), ont permis d'examiner en profondeur les avancées et les obstacles persistants.Malgré les efforts des différents acteurs, les chiffres sur le phénomène des VBG restent en hausse. Selon l’Observatoire de la Femme, de la Famille et de l’Enfant (SIDOFFE-NG), le pays a enregistré 58.469 cas de VBG entre 2020 et 2023, avec une hausse alarmante en 2022 et 2023. Les personnes âgées de 18 à 59 ans sont les plus touchées (69,83 % des cas), suivies des adolescents de 15 à 17 ans (18,73 %). Malgré la mise en place de cadres juridiques et institutionnels, la prise en charge reste limitée, en raison notamment du manque d’infrastructures adaptées et de la faible application des textes en vigueur.Un plaidoyer pour une prise en charge holistique A l’égard de ce tableau peu reluisant, les membres de l’Alliance Droit et Santé soulignent la nécessité de renforcer le plaidoyer pour une meilleure application du décret N°2012-228 du 13 août 2012, qui prévoit la création de 12 Centres Intégrés de Prise en Charge (Cipec) dans les départements du Bénin. À ce jour, seuls quatre Cipec sont opérationnels, ce qui limite l’accès des survivant.e.s aux services nécessaires.Des recommandations…Pour finir, les participants ont formulé plusieurs recommandations. Entre autres, développer des dispositifs simples et accessibles pour les survivant.e.s ; favoriser une synergie d’actions entre les acteurs de la lutte contre les VBG ; former les agents de prise en charge pour garantir un accompagnement de qualité ; encourager l’autonomisation des filles et femmes via des formations qualifiantes ; déconstruire les stéréotypes de genre et promouvoir un changement des mentalités ; augmenter le budget du MASM pour améliorer les mécanismes de prise en charge.
    0 Commentaire(s)


    Un média enraciné dans la culture béninoise

    Agoodjié, qui signifie "vérité" ou "parole juste" en fon, se positionne comme un média emblématique au service de l’information et de la culture au Bénin. Ce nom évocateur reflète une mission claire : offrir des contenus journalistiques intègres, accessibles et enracinés dans les réalités de la société béninoise.

    Dans un paysage médiatique en pleine mutation, Agoodjié s’impose comme un espace de dialogue, d’information et de réflexion. Fidèle à son héritage culturel, ce média explore des thématiques qui touchent au quotidien des citoyens, tout en valorisant l’histoire, les traditions et les innovations du Bénin.

    Agoodjié couvre un large éventail de sujets pour répondre aux attentes variées de ses lecteurs :

    • Politique et Société
    • Culture et Patrimoine
    • Économie et Développement
    • Sport et Jeunesse

    Plus qu’un simple média, Agoodjié aspire à devenir un pilier de confiance pour ses lecteurs. En se basant sur des valeurs telles que l’intégrité, la rigueur journalistique et la proximité avec les citoyens, le site se veut un phare pour la diaspora béninoise et les passionnés d’Afrique.

    La mission d’Agoodjié :
    Informer et inspirer

    Plus qu’un simple média, Agoodjié aspire à devenir un pilier de confiance pour ses lecteurs. En se basant sur des valeurs telles que l’intégrité, la rigueur journalistique et la proximité avec les citoyens, le site se veut un phare pour la diaspora béninoise et les passionnés d’Afrique.

    Une plateforme pour tous les Béninois

    Agoodjié se distingue par son accessibilité. Grâce à une interface intuitive et des contenus adaptés à un public varié, il invite chaque lecteur à s’immerger dans des articles enrichissants et engageants. La possibilité de commenter, de partager et d’interagir avec les contenus en fait un espace véritablement participatif.

    Un avenir ambitieux

    Avec une équipe de journalistes passionnés et une vision claire, Agoodjié ambitionne de devenir un leader de l’information au Bénin et un modèle en Afrique de l’Ouest. En investissant dans le numérique et en restant fidèle à ses racines, le média se prépare